Il faut un fait « particulièrement grave » pour qu’on se souvienne que nos universités publiques continuent de sombrer dans l’abîme. La dernière affaire concernant les présumés produits avariés a projeté le temple du savoir devant les projecteurs. En effet, des étudiants organisés autour d’un mouvement appelé « 2H pour nous 2H pour l’Afrique » accusaient, lors d’un meeting…