Un mouvement sunnite local a obtenu en 2005 l’attribution d’un terrain “réservé” où avait été érigée une mosquée, puis, plus tard, une école franco-arabe. Mais le Donoble, coutume sèmè (siamou pour l’administration néocoloniale) qui revient chaque 40 ans, approche, et les Sèmè veulent récupérer ce terrain car Djòmò tobrà Tien, la divinité propre à cette…