L’imbroglio dans lequel l’Etat burkinabè se trouve aujourd’hui n’est rien d’autre que la prime à la mauvaise gouvernance. Une ingérence dans l’attribution du marché, des dépenses engagées pour équiper un siège dont la construction n’a pas encore commencé. Résultat, quatre (4) ans après la pose de la première pierre, la construction n’a pas commencé. L’Etat…