Cette phrase, comme un refrain, je l’ai entendue maintes et maintes fois à Ouaga la belle. Chaque fois que mes interlocuteurs inconnus apprenaient que j’étais écrivaine, je l’entendais. Dite pudiquement, teintée d’une légère gêne, cette rengaine éveillait mon intérêt et j’essayais d’en savoir plus. La plupart du temps, une autre réponse revenait à ma question de…