Le commissaire Paul Sondo semble avoir été emporté par les vagues provoquées par les révocations des 171 policiers. Ces derniers ne lui pardonnent pas en effet de les avoir lâchés alors qu’ils voyaient en lui, sinon un complice, du moins un allié qui semblait avoir compris leurs préoccupations. Les mutins dénonçaient une institution policière gangrénée…