Rien n’oblige encore personne à s’entourer des précautions professionnelles pour dire son fait à Blaise Compaoré. En décidant de franchir le rubicond et de frauder la loi à son seul profit, il cesse dès lors d’être le président légitime des Burkinabè. Quand on ne respecte pas la loi, on ne peut pas exiger des autres…