Le cinéma d’Afrique Noire francophone se meurt. C’est le refrain quotidien qu’on entend un peu partout. En vérité, les productions sont rares et l’embellie du numérique ne va pas forcement de pair avec la qualité de la réalisation sous nos cieux. Les salles ferment de Ouagadougou à Dakar en passant par Bamako. Tels des forçats…