Le chômage qui frappe de plein fouet les jeunes burkinabè donne des idées à certains d’entre eux. Entre mélancolie et désespoir, ces femmes et hommes vont chercher leur pitance journalière sur des tas d’ordures. Ces endroits d’où se dégage une odeur pestilentielle constituent, contre toute attente, le cadre de travail, d’espoir et de survie d’une…
Emploi : Ces tas d’ordures qui nourrissent des Burkinabè
Par Mahamadi SAKANDE
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