De toute évidence le président du Faso ne voulait pas mettre les pieds dans ce « foutoir » qu’est devenu le CSC. Il a fini par s’en mêler les pinces avec ce fameux arrêté nommant un président suppléant. Devant les critiques véhémentes qui fusaient de partout il s’est vite rétracté par le biais d’un autre arrêté le…