Ce sont les mêmes qui avaient monté le guet-apens contre nous à Lomé en se servant d’un pauvre confrère, qu’on avait rendu accro « à l’argent frais », qui sont encore à la manœuvre avec le cambriolage de l’Evénement. Pourquoi ? Les gens de bonne foi, dans un contexte où c’est l’insécurité généralisée, peuvent effectivement se laisser abuser…