Au sommet Etats-Unis/Afrique tenu à Washington, Blaise Compaoré a répondu à Barack Obama : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans un homme fort ». Ces propos du président du Faso ont scandalisé beaucoup de Burkinabè qui le voient venir « avec ses gros sabots » pour passer le cap de 2015 à travers une modification constitutionnelle. C’est d’ailleurs la…